Your browser doesn't support javascript.
loading
Show: 20 | 50 | 100
Results 1 - 2 de 2
Filter
1.
Article in French | AIM | ID: biblio-1264219

ABSTRACT

Introduction : Les fractures du col du fémur font parties des fractures les plus typiques et les fréquentes de la traumatologie gériatrique. Le but de cette étude était d'évaluer les résultats de l'hémiarthroplastie comme traitement des fractures déplacées du col du fémur dans notre contexte de travail. Méthode : Il s'agissait d'une étude rétrospective de patients opérés entre le 1er janvier 2009 et le 31 décembre 2016 et incluant tous les patients admis pour fracture du col du fémur. Résultats : Le délai moyen d'hospitalisation était de 11 jours (6 et 34 jours). Au plan anatomique, Au plan anatomique, les têtes prothétiques étaient de tailles appropriées dans 15/16 cas. Les tiges étaient en position neutre dans 13cas, en varus dans 1 cas et en valgus dans 2 cas. L'embase prothétique était bien appliquée sur le moignon du col dans 14/16cas. Au dernier recul on notait en ce qui concerne les prothèses de Moore, un cas de cotyloïdite. Les complications postopératoires étaient 1 cas de luxation postérieure de prothèse de Moore à J1 postopératoire, 1 cas d'infection du site opératoire intéressant 1 prothèse intermédiaire et 1 cas de cotyloïdite sur prothèse de Moore. Au plan fonctionnel, le score moyen de Parker au dernier recul (pour les 12 survivants) était de 8. Conclusion : L'hémiarthroplastie est le traitement de référence des fractures du col du fémur de la personne âgée. Le choix de l'implant dépend dans notre milieu de travail de la capacité financière et de l'autonomie du patient


Subject(s)
Academic Medical Centers , Benin , Femoral Fractures , Femur Neck , Hemiarthroplasty , Outcome Assessment, Health Care , Retrospective Studies
2.
Article in English | LILACS, VETINDEX | ID: lil-658998

ABSTRACT

We report herein the case of 19-year-old female farmer who suffered a double snakebite on the right foot. After an unsuccessful traditional treatment, she consulted a health center, 48 hours after the bite. Upon arrival at the hospital, she showed signs of severe damage, including hemorrhagic syndrome, extensive gangrene of the bitten limb and severe acute renal failure. Due to financial constraints, neither antivenom nor the scheduled amputation was performed. After 35 days of hospitalization, she returned home, against the advice of medical personnel. Our case summarizes the daily challenges of patients and practitioners that suffer snakebite envenomation in Bobo-Dioulasso, western Burkina Faso.(AU)


Subject(s)
Humans , Patients , Snake Bites , Bites and Stings , Antivenins , Clinical Laboratory Techniques , Research Report
SELECTION OF CITATIONS
SEARCH DETAIL